Le bio : un mode de vie à la mode

Les jeunes d’aujourd’hui suivent la mode du bio. C’est une manière sainement en respectant l’environnement. Le mode de vie bio est une manière de vivre plus allégée du mode de vie végétarienne, mais en plus saine. Vivre bio consiste à vivre sans user de produits chimiques tout en évitant de polluer avec de la fumée due au carburant. Beaucoup associe le bio, l’écologie et l’électrique.

La nourriture bio

Comme le bio est ne comporte pas de produit chimique, la nourriture bio est une nourriture qui n’a pas de produit chimique non seulement dans le contenu, mais aussi dans le mode de plantation. Beaucoup d’agriculteurs utilisent non seulement de l’engrais chimique pour favoriser la poussée de leurs produits, mais aussi du pesticide pour se débarrasser des nuisibles. Les fruits et légumes bio sont cultivés avec des engrais totalement naturels. En ce qui concerne le traitement contre les nuisibles, les agriculteurs bio utilisent un produit cent pour cent naturel.

Il y a-t-il de la viande bio ?

En effet, le bio n’est pas réservé aux fruits et aux légumes. Il y a aussi de la viande bio, du lait bio et par conséquent, du beurre bio, du fromage et tout aliment dérivé de ces produits. Plus précisément, la viande bio est une viande provenant d’animaux qui ne se mangent pas d’aliment scontenant de produit chimique. Le lait et ses produits dérivés aussi ont la même provenance.

Le bio et la santé

Il est évident que le bio a de grandes vertus sur la santé grâce à l’absence de produits chimiques. Entre autres certains pensent que le bio aide à perdre du poids. En effet, cela peut-être. Tout dépend du fonctionnement du corps de chacun. L’objectif principal du bio est avant tout la santé et le respect de l’environnement.

L’agrément

Il faut commencer par l’obtention d’un agrément est obligatoire pour toute institution de protection de l’environnement. La demande d’agrément sera envoyée à la Préfecture, soit par lettre recommandée, soit par déposition directe au niveau de l’entité. Toute association désirant se convertir en une institution de protection de l’environnement doit être enregistrée depuis au moins 3 ans au niveau du registre des associations. Elle doit être active dans le domaine de la protection de l’air, de l’eau ou de l’environnement en générale. Elle doit disposer d’un organe de décision qui a été élue de manière démocratique. Enfin, leur action est à but non lucratif. L’agrément a une validité de 5 ans et peut être renouvelé au plus tard 6 mois avant la date d’expiration, toujours auprès de la Préfecture.

Les obligations

Comme toute association en France, les institutions de protection de l’environnement doivent annuellement adresser à la Préfecture divers documents pour ne citer que les statuts, son règlement intérieur, un document qui comportera son adresse exacte, les coordonnées de chaque membre en charge de la gestion de l’association. Elle est également tenue chaque année de présenter à l’entité qui l’a délivré l’agrément un rapport d’activités, un PV de la dernière AG, etc.

Les compétences

Les institutions de protection de l’environnement peuvent participer aux débats environnementaux, effectuer des actions devant les juridictions administratives, favoriser la défense des intérêts collectifs et individuels et mener une action de groupe. Quelque que l’action qu’elles entreprennent, les institutions de protection de l’environnement doivent les effectuer dans le but de protéger l’environnement en général.

La recherche de solution à travers le monde entier

Si aucune règle n’a été mise en place, les conséquences du changement climatique pourraient réduire le PIB de 5 à 20%. Le réchauffement climatique touche toutes les parties de la planète et les estimations du GIEC vont de 1,8°C à 4°C d’ici 2100. Il y a le protocole de Kyoto qui est l’accord international entre 175 pays pour limiter leurs émissions de gaz à effet de serre pendant un certain temps. Cela a concerné plusieurs années allant de 2008 à 2012. Des rencontres et conférences internationales réunissant les pays industrialisés, ceux en développement et ceux émergents se succèdent en 2008 et 2009 afin d’aboutir à un accord post-Kyoto. Un traité international ambitieux sur le climat a été également ratifié pendant le sommet de Copenhague en décembre 2009.

Lutter contre le réchauffement climatique par les actions de la vie quotidienne

Les transports publics ou non motorisés sont préférables pour les trajets quotidiens. En ce qui concerne l’alimentation, le choix doit se faire parmi les produits locaux. Les fruits et légumes doivent être de saison. Pour l’éclairage domestique, il est préférable d’acheter des ampoules basse consommation qui consomment cinq fois moins d’énergie. Le tri sélectif des ordures ménagères permet également de limiter la quantité de déchets mis en décharge, d’encourager le recyclage et même de fabriquer son propre compost à partir des pelures. Il est possible de réduire la consommation d’eau des foyers si chacun ferme les robinets entre deux utilisations. Sinon, réutilisez l’eau après le lavage des fruits et légumes pour arroser le jardin.

Les mécanismes de la pollution atmosphérique

Les émissions de gaz et de particules dans l’atmosphère sont à l’origine de nombreux évènements catastrophiques naturels. Généralement, ce sont les éruptions volcaniques, la brume de sable et les incendies de forêt. Une fois émises dans l’air, ces substances se propagent sous l’influence des vents, des pluies et des variations de température dans l’atmosphère. Elles peuvent également subir des transformations par des réactions chimiques produites par les conditions météorologiques. Cela résulte l’apparition d’autres éléments nocifs et leur transfert à des milliers de kilomètres de la source. En effet, il existe des polluants dits « primaires » qui se sont propagés directement dans l’air, et « secondaires ». Ces deniers sont particulièrement obtenus par les transformations physico-chimiques de gaz sous l’effet des conditions climatiques.

Ces gaz et particules ont des conséquences négatives pour la santé humaine et l’économie

Les conséquences sont nombreuses : maladies cardiovasculaires et chroniques, et problèmes respiratoires. La dégradation de l’état des logements ainsi que la baisse des rendements en blé en font également partie. Ces gaz ont des effets à moyen et long terme s’ils sont liés à une exposition chronique à la pollution. Et à court terme, elles sont les principaux facteurs responsables des concentrations élevées lors de la survenue d’épisodes de pollution. Selon l’OMS, le coût économique de cette pollution en Europe est estimé à 1 600 milliards de dollars, soit 1 400 milliards d’euros. Dans certains pays, comme la Bulgarie, le coût des décès prématurés, des maladies et des problèmes ayant une liaison avec la pollution de l’air est estimé à peu près du 29 % du PIB national. En France, le problème existe évidemment. On estime que chaque année, la pollution atmosphérique coûterait plus de 100 milliards d’euros à la France et tuerait plus de 45 000 personnes.

6,3 milliards de tonnes de déchets en plastique en 2017

Les résultats des études menées par Science Advances a permis de révéler un chiffre alarmant sur l’invasion des déchets en plastique non biodégradables qui affectent majoritairement les océans. Science Advances a en effet publié que près de 6, 3 milliards de tonnes de déchets en plastique couvrent la surface des océans cette année 2017. Sans une véritable application des restrictions sur la fabrication et l’utilisation des emballages en plastique, Science Advances estime que ces débris flottants de déchets en plastiques atteindraient un chiffre colossal de 12 milliards de tonnes en 2050, de quoi pouvoir monter le niveau des eaux.

Comment les déchets en plastique se retrouvent dans la mer ?

Les déchets en plastique peuvent se retrouver dans la mer par l’action de l’homme, mais également par les courants d’eau et le vent. Ils peuvent faire de longs voyages pour se retrouver finalement dans les courants océaniques et sous l’action du soleil, ils peuvent se transformer en microplastiques. Afin de suivre le parcours de chemin de ces déchets en plastique, la NASA utilise des bouées de mesure NOOA pour géolocaliser en temps réel la migration des flux.

Les zones aquatiques les plus affectées

D’après les chercheurs de l’institut 5 Gyres, les zones côtières comme la Méditerranée sont les plus affectées par la pollution des déchets en plastique. Toutefois la pollution de toutes les zones océaniques est alarmante même si les gyres océaniques et les zones de convergence sont moins emplis de débris en plastiques. Cette pollution n’est pas sans risque pour le zooplancton. En effet, les organismes marins qui abritent les écosystèmes océaniques sont menacés.