Le management environnemental

Approche qui se doit d’être obligatoire chez une entreprise, c’est sa conscience qui doit toutefois, la guider dans son application. Les actions de gestion dans cette approche de management environnemetal devront donc, être menées de manière volontaire et doivent être perçues sur chaque opération effectuée au sein de l’entreprise. Pour ce faire, deux systèmes peuvent être appliqués. Soit l’entreprise opte pour l’action sur le site, soit, elle se positionne sur les actions au niveau des produits. Pour le premier système, il s’agit d’instaurer une gestion efficace de l’environnement pour limiter les impacts environnementaux sur le site de production. On devra donc, trouver sur le site, des outils qui assurent ce management et qui permettent d’améliorer les actions, de les organiser et de faciliter la communication entre le personnel. Ce système permet à l’entreprise de prétendre à la certification AFNOR : Iso 14001. Concernant le système a appliqué sur les produits, il s’agira de prendre en compte les effets du produit, de son utilisation et de son rejet après usage. Par conséquent, l’entreprise devra alors, considérer l’impact du produit durant tout son cycle de vie. En d’autres termes, dès la conception du produit, l’entreprise doit faire en sorte que ce dernier (emballage et contenu) n’ait pas d’effet sur la nature. Elle doit aussi faire en sorte que les effets du produit sur la nature soit des plus minimes possible même s’il n’est plus utilisé.

L’éco-conception

L’éco-conception pour l’entreprise, concourt aux stratégies de développement durable. Elle veut que dans chaque étape de production, chaque partie prenante soit consciente des risques d’impact environnemental, et s’assure que les effets soient des plus réduits. L’éco-conception considère également le cycle de vie du produit, dès sa conception jusqu’aux procédures de recyclage. Ainsi, pour que l’éco-conception soit effective, il est essentiel de commencer par l’identification des effets du processus de production sur l’environnement. Cela afin de mettre en place des solutions d’amélioration. Il s’agira aussi, de limiter la consommation en réduisant au maximum l’utilisation des matières premières, mais aussi, de réduire la consommation énergétique et de ressources en eau. En outre, l’entreprise doit aussi comprendre qu’elle doit transiter vers l’utilisation de matériaux qui respectent l’environnement et la manipulation d’une technologie plus propre.

Joindre l’utile à l’agréable avec une moto électrique

Il y a des modèles à voir ici si vous souhaitez savoir ce qu’est une moto électrique au niveau esthétique. Ils vous feront rêver. Rouler à moto est grisant, surtout lorsque vous pouvez prendre de la vitesse. Ce plaisir, cette montée d’adrénaline ne disparaît pas avec une moto électrique. Aussi, opter pour un deux-roues électrique, c’est joindre l’utile à l’agréable. En effet, cet engin n’est différent d’une moto classique que par son moteur, alimenté par une batterie électrique au lieu du carburant.

De nos jours, ces batteries sont plus efficaces, plus puissantes, plus autonomes, mais plus légères aussi. La raison principale qui en pousse beaucoup à troquer leur moto standard par une moto électrique est d’ordre environnemental. L’écologie est un enjeu majeur aujourd’hui, vital même, et chacun doit y mettre du sien pour protéger la planète.

Choisir une moto électrique, c’est donc participer à la préservation de la nature. Petite contribution direz-vous peut-être, mais qui compte énormément. En roulant avec un deux-roues électrique, vous prenez part à la diminution des émissions nocives qui nuisent à la terre.

De bonnes raisons d’opter pour une moto électrique

Choisir une moto électrique, c’est afficher votre désir de réduire la pollution de l’air, très dangereuse à bien des égards. Mais rouler à l’électricité, c’est également réduire la pollution sonore. Il est de fait que les motos électriques sont de loin plus silencieuses que leurs pairs thermiques.

Une autre bonne raison d’en acquérir une, c’est qu’elle vous fait réaliser des économies. Elle est plus chère à l’achat, mais elle vous fait économiser le prix du carburant, constamment revu à la hausse. Par ailleurs, vous n’aurez pas à payer des visites chez le garagiste, car un deux-roues électrique nécessite peu ou pas d’entretien. Surtout, sachez que l’État peut accorder une aide financière si vous souhaitez acheter ou louer une moto électrique sur une longue durée.

Le bio : un mode de vie à la mode

Les jeunes d’aujourd’hui suivent la mode du bio. C’est une manière sainement en respectant l’environnement. Le mode de vie bio est une manière de vivre plus allégée du mode de vie végétarienne, mais en plus saine. Vivre bio consiste à vivre sans user de produits chimiques tout en évitant de polluer avec de la fumée due au carburant. Beaucoup associe le bio, l’écologie et l’électrique.

La nourriture bio

Comme le bio est ne comporte pas de produit chimique, la nourriture bio est une nourriture qui n’a pas de produit chimique non seulement dans le contenu, mais aussi dans le mode de plantation. Beaucoup d’agriculteurs utilisent non seulement de l’engrais chimique pour favoriser la poussée de leurs produits, mais aussi du pesticide pour se débarrasser des nuisibles. Les fruits et légumes bio sont cultivés avec des engrais totalement naturels. En ce qui concerne le traitement contre les nuisibles, les agriculteurs bio utilisent un produit cent pour cent naturel.

Il y a-t-il de la viande bio ?

En effet, le bio n’est pas réservé aux fruits et aux légumes. Il y a aussi de la viande bio, du lait bio et par conséquent, du beurre bio, du fromage et tout aliment dérivé de ces produits. Plus précisément, la viande bio est une viande provenant d’animaux qui ne se mangent pas d’aliment scontenant de produit chimique. Le lait et ses produits dérivés aussi ont la même provenance.

Le bio et la santé

Il est évident que le bio a de grandes vertus sur la santé grâce à l’absence de produits chimiques. Entre autres certains pensent que le bio aide à perdre du poids. En effet, cela peut-être. Tout dépend du fonctionnement du corps de chacun. L’objectif principal du bio est avant tout la santé et le respect de l’environnement.

Des techniques de nettoyage à sec plus vertes

Les grandes enseignes du pressing ont pu mettre en place un système de lavage moins agressif envers l’environnement. A la place du solvant « perchlo », elles misent sur un procédé nécessitant de l’eau et des produits lavants biodégradables. D’autres penchent pour la combinaison de ces derniers avec de la silicone D5 ou cyclopentasiloxane, qui n’est pas entièrement écologique, mais qui s’avère plus de 100 fois moins volatile que le tétrachloroéthylène. L’éloge du produit de pressing écologique revient à la noix de lavage indienne ou noix de lavage, le fruit d’une plante originaire de l’Himalaya. Pour sa forte teneur en saponine, un savon 100% naturel, la noix du Sapindus Mukorossi est le détergent rêvé pour les écolos qui souhaitent porter des vêtements propres sans agresser la planète. La noix de lavage indienne s’utilise au naturel, sans transformation ni ajout de produits synthétiques. Toutefois, c’est une excellente lessive dégraissante et assainissant, en machine ou manuel. Les vertus de la saponine sont innombrables. En plus de nettoyer le tissu, la noix de lavage l’adoucit et en protège la couleur. De surcroît, elle est parfaite pour éloigner les insectes tels que le moustique.

Des solutions équivalentes aux services de pressing

Si vous ne voulez pas prendre de risque avec les services de nettoyage à sec, ne connaissant pas exactement leurs méthodes, vous pouvez toujours vous tourner vers l’aquanettoyage. Au moins, vous serez sûr qu’avec cette méthode, vous ne participez pas à la pollution de l’eau et de l’air. Pour le nettoyage à eau, il vous faudra ajouter du détergent bio pendant l’étape du lavage et changer de machine pour la phase de séchage du linge. Encore qu’il convient de rester vigilant quant au choix des lessives et des appareils.

Le choix de sa lessive et de sa machine à laver

Le critère de choix du lave-linge réside dans sa consommation d’eau et sa consommation énergétique, que vous pouvez reconnaître facilement en lisant son étiquette d’efficacité énergétique. La lessive doit-être du détergent biodégradable ou écolabélisé pour éviter de tomber sur des produits nocifs à la fois pour votre santé que pour l’écosystème. N’oubliez pas de vérifier l’efficacité à froid de la lessive afin de ne pas gaspiller plus d’énergie à réchauffer l’eau. Opter pour les produits légers et simples, ou même confectionner vous-même votre lessive serait judicieux. Il vous suffit de trancher entre le savon (en paillette à dissoudre dans de l’eau chaude, le vinaigre et les noix de lavage indiennes. Diverses techniques vous seront également utiles pour réussir votre aquanettoyage écologique. Commencez par modérer la température de l’eau à 40°C au maximum pour réduire votre consommation d’énergie. N’abusez pas de la lessive, ajustez-en la quantité suivant celle des linges et leur degré de saleté. Les balles de lavage en caoutchouc pourront vous être utiles pour optimiser le rendu du lavage. Enfin, utilisez au minimum le sèche-linge.

Pourquoi utiliser un sac écologique ?

Pour adopter une attitude écoresponsable, optez pour un sac réutilisable et recyclable. Sachez également qu’un sac avec un fond en carton est recyclable ou compostable. Vous n’aurez plus à utiliser des sacs en plastique jetables qui prennent des années pour se dégrader dans la nature et qui peuvent boucher les égouts et contaminer la nappe phréatique. Le sac écologique est fabriqué avec une matière qui peut se détériorer facilement. Il peut être fabriqué avec des matières naturelles comme du papier, du chanvre, du lin ou du coton. Ce sont des matières qui ne polluent pas, qui sont putrescibles et qui vous permettent d’adopter des gestes écoresponsables au quotidien.

Les types de sacs écologiques qu’on peut trouver sur le marché

Les sacs écologiques sont disponibles en sac de course réutilisable. Ils sont généralement conçus dans du polyester et dépourvus de plastique. Ce qui leur permet d’être faciles à laver et à sécher pour être réutilisés de nombreuses fois. Comme vous pouvez le voir sur ce site, vous pouvez également trouver des sacs krafts. Ils font partie des meilleurs sacs biodégradables. Ils sont également peu onéreux et permettent à un foyer de réduire considérablement son empreinte carbone. Ensuite, on a les sacs non-tissés qui ont l’avantage d’être fabriqués avec des matières premières issues du recyclage. La méthode de conception de ce type de sac non tissé lui confère un caractère très solide et particulièrement résistant. Une fois à l’état d’usure, ce type de sac peut être recyclé, mais on ne peut pas le transformer en compost. Il n’est pas biodégradable.

Un plan de rénovation énergétique ambitieux

500 000 logements, c’est le nombre d’appartements et de maisons concernés par le plan de rénovation énergétique initié par Nicholas Hulot. Les bénéficiaires de ce vaste projet gouvernemental s’attendent à ce que leur habitat soit plus écologique avant l’horizon 2023. En effet, cette initiative de l’administration française en faveur de la transition énergétique devrait commencer à partir de 2018. Les destinataires de cet appui gouvernemental seraient majoritairement les HLM. Ces habitations à loyer modéré devront recevoir une meilleure isolation pour réduire la déperdition thermique. Dans ce vaste plan, les particuliers déjà propriétaires de leur logement pourront demander un prêt à taux zéro dans le cadre de l’éco-prêt. L’État prendra même en charge annuellement de financer 35 000 foyers trop démunis pour pouvoir contracter un emprunt.

Des points qui pourront encore être améliorés

Tout compte fait, ce nouveau plan n’en est pas un. L’appui pour la rénovation de l’isolation pour les maisons les plus vétustes a été le projet d’autres locataires de l’Élysée. La différence se trouverait au niveau de la répartition. Les 100 000 HLM bénéficiaires du projet sont habités par des personnes dont la priorité ne sera pas l’écologie. Les jeunes des barres à loyer modéré pourront enfin avoir l’impression que le gouvernement intervient concrètement dans leur quotidien. Si les particuliers peuvent s’en réjouir, les associations et les entreprises ne sont aucunement concernées par le plan de Nicholas Hulot. Pourtant, ce sont également de consommatrices d’énergie. Normalement, des améliorations pourront être entamées en ce sens par le successeur du ministre sortant. Attendre et voir !

L’agrément

Il faut commencer par l’obtention d’un agrément est obligatoire pour toute institution de protection de l’environnement. La demande d’agrément sera envoyée à la Préfecture, soit par lettre recommandée, soit par déposition directe au niveau de l’entité. Toute association désirant se convertir en une institution de protection de l’environnement doit être enregistrée depuis au moins 3 ans au niveau du registre des associations. Elle doit être active dans le domaine de la protection de l’air, de l’eau ou de l’environnement en générale. Elle doit disposer d’un organe de décision qui a été élue de manière démocratique. Enfin, leur action est à but non lucratif. L’agrément a une validité de 5 ans et peut être renouvelé au plus tard 6 mois avant la date d’expiration, toujours auprès de la Préfecture.

Les obligations

Comme toute association en France, les institutions de protection de l’environnement doivent annuellement adresser à la Préfecture divers documents pour ne citer que les statuts, son règlement intérieur, un document qui comportera son adresse exacte, les coordonnées de chaque membre en charge de la gestion de l’association. Elle est également tenue chaque année de présenter à l’entité qui l’a délivré l’agrément un rapport d’activités, un PV de la dernière AG, etc.

Les compétences

Les institutions de protection de l’environnement peuvent participer aux débats environnementaux, effectuer des actions devant les juridictions administratives, favoriser la défense des intérêts collectifs et individuels et mener une action de groupe. Quelque que l’action qu’elles entreprennent, les institutions de protection de l’environnement doivent les effectuer dans le but de protéger l’environnement en général.

L’écologie est définie différemment

Sur le plan littéral, « écologie » veut donc dire science qui étudie les milieux et les conditions d’existence des êtres vivants ainsi que les rapports entre les êtres vivants et la nature. L’écologie, telle qu’on la conçoit à notre ère moderne, vient de la prise de conscience des dangers engendrés par la pollution, par l’épuisement des ressources naturelles, par le bouleversement climatique, par l’extinction de certaines espèces etc. Cette science étudie également l’homme puisqu’il fait partie des composants de l’écosystème qui étudie lui, les activités humaines sur son environnement. Le concept de l’écologie comprend l’impact environnemental de l’utilisation des déchets industriels, des déchets, des gaz des véhicules etc. Les objectifs des écologistes aujourd’hui sont entre autres choses d’analyser et de lutter efficacement contre les dysfonctionnements des écosystèmes.

L’énergie verte et l’écologie

L’énergie verte est à l’heure actuelle un des flambeaux de l’écologie. En effet, ces énergies sont produites par la nature, appelées énergies renouvelables. L’intérêt des énergies vertes, c’est parce qu’elles sont propres du fait qu’elles ne produisent pas de déchets radioactifs et de CO2. Il y a l’énergie produite par le soleil qui peut être thermique ou photovoltaïque. Et puis, il y a l’énergie éolienne qui se sert de la force du vent pour actionner un générateur qui va produire de l’électricité. Et enfin l’énergie hydraulique qui produit de l’électricité grâce aux barrages et aux usines marémotrices.

L’énergie renouvelable est favorable à l’écologie

En fait, le fait d’investir dans l’énergie renouvelable permet de contribuer au développement durable. Tout le monde sait que les grandes centrales nucléaires sont hautement énergivores mais également très polluantes alors que les énergies renouvelables sont propres, sûres et surtout, comme leur nom l’indique clairement, renouvelables à souhait. Ce sont donc des énergies intéressantes sur tous les plans, que ce soit d’un point de vue civil et militaire, sécurité intérieure et énergétique. De plus, elles sont avantageuses sur le plan économique, social et bien sûr, environnemental.

Quelques notions à comprendre

En écologie, il y a plusieurs facteurs à saisir, tels que l’écosystème. Il s’agit de l’ensemble dynamique comprenant les communautés de plantes, d’animaux et de micro-organismes ainsi que de leurs milieux non vivants, c’est-à-dire l’air, le sol et l’eau, qui eux aussi, interagissent pour former une unité fonctionnelle. Et puis, il y a l’écologie industrielle qui désigne les pratiques visant la réduction de la pollution industrielle. La biosphère indique la partie de la Terre où la vie se développe : l’hydrosphère, la lithosphère et l’atmosphère. La biocénose, la biomasse sont aussi des facettes de l’écologie qu’il est intéressant de comprendre.

La recherche de solution à travers le monde entier

Si aucune règle n’a été mise en place, les conséquences du changement climatique pourraient réduire le PIB de 5 à 20%. Le réchauffement climatique touche toutes les parties de la planète et les estimations du GIEC vont de 1,8°C à 4°C d’ici 2100. Il y a le protocole de Kyoto qui est l’accord international entre 175 pays pour limiter leurs émissions de gaz à effet de serre pendant un certain temps. Cela a concerné plusieurs années allant de 2008 à 2012. Des rencontres et conférences internationales réunissant les pays industrialisés, ceux en développement et ceux émergents se succèdent en 2008 et 2009 afin d’aboutir à un accord post-Kyoto. Un traité international ambitieux sur le climat a été également ratifié pendant le sommet de Copenhague en décembre 2009.

Lutter contre le réchauffement climatique par les actions de la vie quotidienne

Les transports publics ou non motorisés sont préférables pour les trajets quotidiens. En ce qui concerne l’alimentation, le choix doit se faire parmi les produits locaux. Les fruits et légumes doivent être de saison. Pour l’éclairage domestique, il est préférable d’acheter des ampoules basse consommation qui consomment cinq fois moins d’énergie. Le tri sélectif des ordures ménagères permet également de limiter la quantité de déchets mis en décharge, d’encourager le recyclage et même de fabriquer son propre compost à partir des pelures. Il est possible de réduire la consommation d’eau des foyers si chacun ferme les robinets entre deux utilisations. Sinon, réutilisez l’eau après le lavage des fruits et légumes pour arroser le jardin.

Qu’est-ce que le chauffe-eau thermodynamique ?

Aérothermie, cette technologie est à la base d’un chauffe-eau thermodynamique. Grâce à l’équipement adapté, la chaleur dans la pièce peut être captée pour ensuite servir à chauffer l’eau. Cette dernière se destine généralement pour les sanitaires. Le processus est particulièrement propre avec un minimum d’émission de gaz nocif. La quantité sera 20 fois moins importante par respect de l’environnement. De toute manière, l’emplacement doit être choisi en fonction des objectifs.

Une technologie pour les petites pièces

Un chauffe-eau qui capte la chaleur ambiante doit idéalement être placé dans les petites pièces. La buanderie, la cuisine ou d’autres parties de la maison peuvent accueillir cette installation. Quelques conditions d’ordre technique devront être respectées. La pièce en question ne doit pas excéder 20m². La taille du ballon d’eau ainsi que l’emplacement de la pompe à chaleur vont aussi servir. Les évacuations doivent s’éloigner des fenêtres pour les chambres à coucher et de la pièce à vivre pour éviter tout risque d’intoxication.

L’installation de cet équipement reste très simple

Dans le cas d’une nouvelle construction, l’emplacement du matériel pour l’aérothermie doit être déterminé à l’avance. Le type de chauffe-eau thermodynamique devrait aussi être connu à l’avance. L’usager aura aussi à choisir le type de machine qu’il lui faut. Il sera par exemple possible d’avoir un équipement qui chauffe l’eau et la pièce en même temps. Pourtant la consommation diminuera de moitié, voire un peu plus. L’installation reste à la portée des bricoleurs moyens même s’il est préférable de confier la tâche à un chauffagiste professionnel.